Marie-Anne BERRON – Florian KOCH

La crise des réfugiés de 2014/2015 a montré des divergences politiques et culturelles à la fois parmi les États membres au sein de la « désunion européenne »(Meyer, 2016) mais également à l’intérieur de chaque État. Cette désunion entre l’Allemagne et la France se manifeste tout particulièrement par la « rupture de Munich ». La question épineuse est : comment considère-t-on l’arrivée en masse de réfugiés ? Présente-t-elle une chance unique ou bien est-elle un effondrement culturel ?

 

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