Judit KARAFIÁTH

La juxtaposition des deux termes – le nom de l’écrivain français et l’adjectif « hongrois » peut paraître sinon un oxymore du moins quelque chose d’insolite : en joignant cet adjectif au nom de Proust, le poète et écrivain Mihály Babits (lui-même traducteur de la Divine comédie de Dante) a certainement voulu signaler l’appropriation – par la traduction du premier tome – de l’œuvre de Proust et son intégration dans le fond culturel des lecteurs hongrois.

 

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