Judit KARAFIÁTH

Dans une interview donnée en 1957 sur Gargantua et Pantagruel, l’écrivain français (qu’on a souvent comparé, du point de vue de la richesse de son langage, à Rabelais – un Rabelais nouveau, mais un Rabelais grinçant (cf. par ex. Simon, 1967 : 72-73) fait une déclaration surprenante : « En vérité Rabelais, il a raté son coup. Oui, il a raté son coup. Il a pas réussi. Ce qu’il voulait faire, c’était un langage pour tout le monde, un vrai. Il voulait démocratiser la langue, une vraie bataille. La Sorbonne, il était contre, les docteurs et tout ça. Tout ce qui était reçu et établi, le roi, l’Église, le style, il était contre » (Céline, 1968 : 267).

 

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