Krisztina HORVÁTH

L’impossibilité de la traduction absolue, la reconnaissance de l’existence des gains et des pertes, des opérations d’addition et de suppression au jeu desquelles naîtra finalement l’équivalence toute relative de la traduction littéraire ne doive pas occulter les difficultés très particulières rencontrées lors de la traduction de textes non standard. À partir d’exemples concrets tirés de la traduction hongroise de Kiffe kiffe demain nous proposons quelques réflexions sur le travail de texte de la traduction, cet acte de lecture le plus complet qui soit (Morel, 2006 : 25) et aussi sur les pouvoirs du traducteur : éditeur, co-auteur, énonciateur du texte littéraire définitif il exerce un pouvoir de censure d’autant plus redoutable que cette activité échappe – dans le meilleur des cas – à son contrôle.

 

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