Vanda Éva UJHELYI-MAKÓ

Vanda Éva UJHELYI-MAKÓ, La mer franco-hongroise. > 125

La nouvelle Mondo de Jean-Marie Gustave Le Clézio nous offre une grande variété de problèmes traductologiques à traiter. Quand nous lisons l’histoire, nous avons l’impression de nous immerger dans un univers enchanteur qui nous fait nous rappeler notre vision enfantine du monde et qui épand une sorte de sagesse mûre. Le lecteur peut aussi bien rencontrer des images et des scènes colorées et captivantes que déceler un étrange flou qui entoure l’intégralité de la nouvelle. Cette dualité donne un caractère spécial à l’histoire et bien évidemment, le traducteur doit faire de son mieux pour rendre cet effet dans sa propre version.

Certes, cette atmosphère particulière est issue d’un système langagier complexe, où, entre autres, les facteurs syntactiques comme les jeux des temps verbaux jouent un rôle très important. Néanmoins, pour le moment, nous allons nous borner au développement d’un seul composant qui contribue à l’élaboration de l’ambiance caractéristique de la nouvelle. Nous avons opté pour une problématique qui relève du niveau lexical – nous allons nous focaliser sur les défis traductologiques que présentent les expressions liées à la mer.

 

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